Ils sont pillés, torturés, affamés, assassinés, humiliés, traités avec une cruauté que de mémoire d'homme on a rarement observée et qui rappelle les camps de concentration nazis de l'Allemagne hitlérienne. Le Mal n'a pas de nationalité...
On les a brûlés, écorchés vifs, mutilés, découpés en morceaux pour les jeter en pâture aux bêtes sauvages. On les éviscérés pour prélever leurs organes, on a violé, sacrifié dans des rituels macabres et abattu leurs jeunes enfants d'une balle dans la tête pour les empêcher de devenir les figures de la résistance à l'injustice et à la barbarie...
Mais le peuple qu'on a tenté de mettre à genoux et de rayer de la carte par tous les moyens est debout aujourd'hui.
Aux quatre coins de la planète, les Kongos sont debout et plus que jamais déterminés à prendre leur destin en mains. À la face du monde entier et devant les juridictions internationales, ils ont démontré les crimes humains et économiques systématiques que le pouvoir sanguinaire de Brazzaville a orchestrés dans le but d'exterminer les Kongos et s'emparer de leurs terres et de leurs richesses. Ce sont des crimes dont la preuve n'est plus à faire, ils sont bien connus des organisations internationales devant lesquelles le peuple Kongo a présenté, par l'intermédiaire des ses leaders, tous les éléments justifiant sa volonté légitime de regagner sa liberté et sa souveraineté par la création de la Fédération Kongo.
Le peuple Kongo renaît de ses cendres.
À l'aube de l'année 2022, un pays nouveau est en train de naître, il a déjà son drapeau, porté par des leaders honnêtes et travailleurs. Un pays où les gens aspirent à vivre en paix et à jouir de leurs richesses, un pays hospitalier et ouvert au monde où plus rien ne sera comme avant.
Dieu bénit le peuple Kongo, il le rend heureux et prospère !
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